La banque préfère prêter à la Grèce qu’à une PME


Voici comment en profiter et vous protéger en soutenant l’économie française

Chère lectrice, cher lecteur,

La Grèce vient d’émettre pour 3 milliards d’euros d’obligations à 5 ans… Triomphalement.

Le pays en état de faillite n’avait pas fait appel aux marchés financiers pour se financer depuis 3 ans.

Les souscripteurs se sont bousculés au portillons et près de la moitié n’ont pu être servi.

Parmi ces 3 milliards, la moitié étaient un refinancement d’obligations arrivant à échéance dans un an. Détenues majoritairement par des banques, notamment françaises… Elles ont préféré laisser leur argent 4 ans de plus dans le chauderon grec.

Pourtant les problèmes de la Grèce ne sont pas plus réglés aujourd’hui qu’il y a 3 ans :

  • Ils sont étouffés par une dette à 180% de leur PIB et surtout émise à des taux bien supérieurs à ceux de la France et dont le remboursement atteint jusqu’à 7% du PIB du pays chaque année.
  • Les banques grecques sont toujours en situation de faillite.
  • L’économie est asphyxiée.

Pourquoi les banques se jettent-elles donc ainsi sur la dette grecque ?

PARCE QU’OFFICIELLEMENT ELLES NE PRENNENT AUCUN RISQUE comme le rappelle Olivier Delamarche dans la nouvelle édition de son journal consacrée aux banques.

Quand une banque prête à un État souverain de l’Union Européenne le risque de son prêt est considéré nul d’un point de vue comptable c’est-à-dire que la banque n’a pas besoin de mettre de l’argent en réserve en cas de problème.

Et c’est encore vrai en 2017 !

Les banques françaises ont beau avoir perdu près de 6 milliards d’euros lors de la crise grecque de 2011… Le pays est considéré sans risque.

Une banque française a aujourd’hui plus d’intérêt à prêter à la Grèce ou à l’Italie qu’à une PME française.

C’est ce qu’Olivier Delamarche appelle la grande arnaque des banques.

Non seulement aucun banquier responsable de la crise de 2008 n’a été en prison (sauf en Islande) mais ils n’ont surtout réglé aucun problème :

Les créances pourries de leurs bilans ont été multipliées par 3 depuis la crise !

Elles atteignent aujourd’hui 1 000 milliard d’euros.

Le problème ne se résorbe pas, il dégénère littéralement.

Les banques sont prises dans un engrenage diabolique : pour qu’elles ne fassent pas faillites, la Banque Centrale Européenne a mis les taux à zéro. Cela a permis aux banques d’avoir accès à des liquidités gratuites… mais les taux étant à zéro elles ont du prendre des risques insensés pour booster leurs rendements… Et ces risques s’avèrent désastreux.

Aujourd’hui :

114 des 500 banques italiennes sont en situation de faillite, selon l’agence de notation Fitch.

C’est-à-dire que le montant de leur créances irrécouvrables sont supérieures à leur réserves.

3 de ces 114 banques ont été sauvées ou liquidées pour un coût supérieur à la faillite du Crédit Lyonnais… il n’en reste plus que 111.

La situation est également critique en Espagne et en Grèce et plus généralement aucun pays d’Europe n’est épargné.

Les banques européennes sont une bombe à retardement qui pourrit toute l’économie européenne.

Et pour vous cela veut dire une chose : débancarisez !

Débancarisez

Il est urgent de prendre votre indépendance des banques : sortez une partie de votre patrimoine de l’emprise des banques.

En effet, dans son numéro, Olivier Delamarche vous montre que les règles mises en place par l’Europe pour encadrer les crises bancaires sont inopérantes : elles ne marchent pas !

Il vous montre également comment les banques font pour faire de vous leur créanciers — ceux que l’on en rembourse pas en cas de faillite—.

Par exemple : lorsque vous souscrivez à un fonds de placement sécuritaire de la banque, il est habituel qu’une large partie du fonds soit placé en obligations de la banque ! Ça y est, vous êtes créancier.

Le plus intéressant est qu’il y a deux volets à cette stratégie qu’Olivier détaille dans son numéro :

  • La première bien sûr est de prendre ce que j’appelle « votre assurance-chaos » pour vous protéger de l’effondrement.
  • Le deuxième volet consiste à se passer des banques pour investir directement votre patrimoine dans des placements utiles, productifs et avec des rendements de 5 à 10%.

Aujourd’hui débancariser ne signifie pas uniquement vous protéger, cela signifie aussi retrouver du rendement de manière saine : protection et rendement.

6,5% de rendement sans les banques

Les marchés boursiers ne représentent qu’une infime partie des entreprises françaises.

La plupart des entreprises préfèrent se passer de la bourse pour se financer.

Et c’est le plus souvent à l’abri des regards que se développent les pépites de demain.

Ce sont des entreprises à taille humaine, locales, humbles et acharnées qui se développent dans les biotechnologies, l’automobile, les services, l’agro-alimentaire…

Cela peut-être :

  • une brasserie artisanale…
  • Un petit barrage hydro-électrique,
  • des compléments alimentaires naturels pour bétail,
  • une imprimante 3D révolutionnaire ou encore
  • des accessoires pour vélo…ou même
  • Une voiture volante utilisées par l’armée.

La France et l’Europe regorgent d’entrepreneurs talentueux et audacieux.

Quand vous entendez parler de l’une d’entre elle dans les journaux, il est déjà trop tard des investisseurs bien renseignés ont investi et réaliser des profits parfois spectaculaires.

Les journaux parlent de ces spéculations, des « coups » réalisés par les business angels et les capital-risqueurs.

Mais derrière les paillettes c’est tout un tissu de PME dans lequel vous pouvez investir aujourd’hui… des entreprises solides qui ont un sens, sont proches de vous : localement, ou dans votre domaine d’expertise ou de passion.

Sans être professionnel, vous pouvez investir à partir de 5€ et surtout de manière adaptée à vos objectifs : que vous ayez besoin d’arrondir vos fins de mois ou que vous recherchiez le prochain champion.

Jusqu’à récemment, il fallait bénéficier de capacités d’investissement importantes et de bonne relations pour pouvoir intégrer ce milieu des investisseurs hors-marché.

Aujourd’hui vous pouvez aujourd’hui dans des projets qui étaient réservés à des investisseurs professionnels millionnaires il y a encore 3 ans.

Bienvenue dans le monde du financement participatif

Le financement participatif ?

Le financement participatif est une activité qui se développe grâce aux nouvelles technologies. C’est un pan entier de la révolution silencieuse de ce que l’on appelle les « FinTechs », ou technologies financières et qui font la preuve chaque jour dans tous les domaines de l’inefficacité des grandes banques.

Le financement participatif c’est une :

  • précommande (système de don contre don),
  • un prêt pour permettre à une PME de se développer ou
  • Une prise de participation dans une entreprise… 

Tout se fait en ligne sur des sites au fonctionnement très simple et en se passant de l’intermédiaire de la banque

Alors qu’il était très fastidieux d’investir dans une entreprise en direct il y a quelques années encore, des sociétés se sont développées pour rendre l’investissement clair et facile permettant d’investir ne serait-ce que 20€ dans un projet de société trié sur le volet par des professionnels avertis.

Tout se passe en ligne. C’est transparent et facile à gérer pour peu de s’initier un peu au fonctionnement de ces plateformes.

Aujourd’hui il existe 3 formes d’investissements selon vos objectifs :

Financement en don contre don : Vous n’investissez pas directement dans l’entreprise mais pré-commandez un produit proposé par l’entreprise en question. Cela s’apparente plus à de l’engagement qu’à de l’investissement mais vous permet d’aider des projets qui vous touchent, vous sont utiles, proches de vous.

Le prêt participatif : vous prêtez de l’argent directement à une entreprise qui vous le rembourse avec un intérêt. Pas de banque entre vous et la société mais des investisseurs qui sélectionnent les projets et souvent investissent également à vos côtés. La plateforme leader du marché propose un rendement moyen de 6,5% pour des prêt de 2 à 3 ans.

La prise de participation : vous devenez détenteurs de parts d’une entreprise ! Vous pouvez aujourd’hui investir dans les fleurons de demain. C’est plus risqué, il y a beaucoup d’appelés et peu d’élus mais avec une bonne stratégie et quelques précautions, vous pouvez vous constituer un portefeuille de Business Angel… à partir de 15 000€.

Ce mois-ci, les nouveaux abonnés au journal d’Olivier Delamarche recevront avec leur numéro sur les banques un dossier pratique dont je viens de terminer la rédaction :

INVESTISSEMENT PARTICIPATIF : Investissez dans les projets d’avenir en dehors des banques et de la bulle financière

Vous découvrirez dans ce dossier :

  • Les règles d’or pour bien investir ;
  • Une solution encore plus simple que les plateformes d’investissement et à laquelle vous n’avez sans doute pas pensé ;
  • 15 plateformes françaises et européennes, leurs spécificités et tous le éléments pour choisir celle qui vous convient le mieux ;
  • Les possibilités de défiscalisation ;
  • Les avantages et inconvénients de chaque méthode d’investissement
  • Comment commencer si vous n’avez jamais fait un prêt à une entreprise… Accessible à un enfant de 5 ans.

Retrouvez confiance en l’avenir

Le financement participatif n’est pas seulement le meilleur moyen d’investir vos économies avec des rendements de plus de 5%, c’est aussi à mon avis le meilleur moyen de vous connecter à la France qui se lève tôt et des projets plein la tête.

L’actualité économique et financière est morose si ce n’est déprimante. Découvrir toutes les dynamiques qui animent les PME françaises est une des meilleures façon de retrouver confiance en l’avenir.

De l’autre côté du spectre, une autre façon de dormir sur ses deux oreilles est de prendre ce que j’appelle « votre assurance-chaos », c’est-à-dire une mesure simple qui peut vous sauver la vie en cas d’effondrement.

Prenez votre « assurance-chaos »

Votre assurance chaos, c’est ainsi que j’appelle l’or.

J’ai préparé un second dossier pratique sur la seule monnaie qui a traversé les millénaires : l’or.

Récemment une lectrice m’a dit que ses parents avaient acheté du pain avec de l’or pendant sous l’occupation.

Bien sûr le pire n’est jamais sûr et encore moins souhaitable mais quand je vous dis que ça peut vous suaver la vie, c’est littéral.

On frappait déjà des pièces d’or à Varna en Bulgarie il y a 7 000 ans. Depuis l’or n’a jamais cessé d’être une monnaie.

Les monnaies de papier au contraire sont des feux de paille qui ne durent que quelques années, un siècle au mieux… avant leur destruction ainsi que la valeur que vous y aviez mis péniblement année aprèse année (page 2).

Les détracteurs de l’or vous diront que c’est un mauvais investissement. L’or n’est pas un investissement comme les autres, c’est la meilleure des assurances.

Vous lirez dans ce dossier l’histoire de ce banquier américain qui fit fortune au début des années 1970 (page 3).

Il avait compris mieux que tout le monde le cycle des monnaies, comment elles se créent naturellement sous différentes formes et aussi comment se détruisent et meurent.

Vous comprendrez à quel moment exact nous sommes du cycle monétaire actuel (page 5).

Surtout lisez l’avertissement de la page 6 avant d’acheter la moindre once d’or.

Il existe de multiples manières d’investir dans l’or. Vous apprendrez à choisir celle qui correspond le mieux à votre objectif.

  • Vous découvrirez la réalité —somme toute assez simple— derrière les mots barbares des investisseurs professionnels : certificats, futures, forward, trackers, swaps, leasings… Et comment ceux-ci créent de l’or qui n’existe pas et essaie de vous le revendre (page 8).
  • Vous découvrirez aussi les acteurs de référence du marché de l’or, ceux en qui vous pouvez faire confiance ainsi que leurs spécificités. À la fin du dossier vous saurez lequel choisir.
  • Vous apprendrez pourquoi votre banque n’est sans doute pas le meilleur endroit pour acheter de l’or… Et irez directement chez les prestataires de votre banque sans avoir à lui donner une commission importante.
  • Vous apprendrez à lire facilement les frais de ces prestataires (page 9).
  • Vous ferez aussi la différence entre les pièces d’or, les lingots et lingotins.
  • Vous apprendrez ce que change la loi Hamon de 2015 sur l’achat et la vente d’or (page 12).
  • Page 14, ne ratez pas ce conseil simple mais essentiel pour bénéficier d’une fiscalité avantageuse.
  • Je vous livrerai aussi le secret de la « pièce » que vous pouvez revendre sans payer d’impôt sur la plus-value (page 16) ;
  • Je vous livrerai un autre secret que je ne dirai jamais même à mes plus proches amis et familles et vous comprendrez pourquoi. (Page 14)
  • Vous découvrirez les 7 règles essentielles pour conserver de l’or et tout objet précieux chez vous (vous ne lirez la n°5 nulle part ailleurs)

J’ai passé près de 3 semaines pour réunir toutes les informations essentielles et rien qu’elles dans un dossier pratique, complet et agréable à lire de 16 pages : L’Or, la monnaie millénaire

Je voudrais vous envoyer ce dossier aujourd’hui même.

3e CONSEIL : Ayez d’autres devises en poche

Il ne s’agit pas d’ouvrir un compte chez un courtier et de jouer aux apprentis traders (je vous le déconseille fortement).

Ce n’est pas de la spéculation, simplement une assurance contre la crise européenne.

Il suffit d’ouvrir un compte courant dans une devise étrangère et d’y laisser un peu d’argent en vérifiant de loin en loin l’évolution du taux de change.

Malheureusement, il est peu probable que votre conseiller financier vous parle d’une stratégie aussi simple et peu coûteuse : ce n’est pas son intérêt, ni celui de la banque.

Il existe pourtant 5 manières de mettre en place cette stratégie, chacune ayant ses avantages spécifiques.

Selon ce que vous recherchez, vous pourrez privilégier une solution plus ou moins souple, plus ou moins coûteuse et plus ou moins robuste.

J’ai réuni ces 5 solutions dans un dossier pratique : Devises, votre assurance en cas de crise de l’Euro.

Vous y découvrez :

  • Le premier moyen, le plus simple, tellement évident que l’on n’y pense même plus… (page 8)
  • Pourquoi les conseillers financiers n’appliquent pas la première règle de prudence en investissement lorsqu’il s’agit de leurs clients (page 2);
  • Éviter de finir « comme les emprunts russes » qui ont ruiné 3 millions de famille au début du XXe siècle (page 5) ;
  • Vous découvrez l’application qui vous permet d’ouvrir en quelques minutes un compte au Royaume-Uni (en dehors de la Zone Euro) aussi bien en dollars qu’en livres sterlings ou euros (page 15).
  • Vous apprendrez comment ne plus jamais payer les frais de changes déraisonnablesque vous imposent les banques (page 16) ;
  • Vous lirez page 7 la confession choquante du PDG d’une des plus grandes banques françaises ;
  • Vous découvrirez les services très utiles que les banques ne proposent… que dans certaines régions de France bien particulières (page 11).

Je vous propose de recevoir immédiatement ce dossier grâce au lien au bas de ce message.

Je vous propose également de vous envoyer immédiatement ce dossier.

À ma connaissance ces 3 dossiers pratiques regroupent les informations essentielles pour vous protéger :

  • Investissement participatif : investissez en dehors de la bulle et des banques
  • Devises : votre assurance contre la crise de l’Euro » et
  • L’Or, la monnaie millénaire« 

Et ce n’est pas tout, je vous envoie aussi un dossier, non pas pratique mais philosophique presque sur les différentes manières d’envisager l’avenir et vos investissement. Êtes-vous plutôt spéculateurbon père de famillestratège, idéaliste ou même survivaliste ? Vous pourrez le découvrir dans le 4e dossier :

– Objectif 324 : Les règles essentielles pour protéger et faire fructifier votre patrimoine retraite.

Bénéficiez de l’accompagnement anti-crise d’Olivier Delamarche

Je reproduis ici une intervention « coup de poing » d’Olivier Delamarche sur BFM Business. Comme il le dit lui-même, Olivier Delamarche est un analyste financier qui sait traire une vache : il a les pieds sur terre.

Pendant 10 ans, Olivier Delamarche a apporté, seul, la contradiction sur cette radio d’informations économiques.

Voici ce qu’il disait il y a quelques semaines :

«Ils vous avaient dit que le problème bancaire était réglé et pourtant la plus vieille banque italienne a fait faillite l’année dernière.

Ils vous avaient dit qu’ils avaient mis des contrôles, des tests de robustesse. Qu’ils avaient fait tout ce qu’il fallait pour que cela n’arrive plus.

Ils vous avaient dit que l’Espagne c’était fini que la vie y était belle : non ce n’est pas fini ! Non la vie n’est pas belle en Espagne. Rien n’est réglé.

Arrêtez de penser qu’on peut tout régler systématiquement en imprimant des billets.

Quand on imprime, quand on fait marcher la planche à billet, il y a un retour, violent qui se fait à un moment où à un autre.

Soit on vous confisquera purement et simplement vos économies, soit vous aurez un effondrement des monnaies parce qu’à force d’en créer elles ne valent plus rien.

Quand vous aurez un effondrement des monnaies on aura de l’hyper-inflation et on sortira tous avec des brouettes de billets pour aller acheter sa baguette.

Il n’y pas de solution intermédiaire.

Ils prennent les gens pour des c***s et ça marche.

Si aujourd’hui les gens n’ont pas compris que ni leur épargne ni leur compte en banque n’étaient absolument pas en sécurité dans nos pays qui sont surendettés… »

Cette enquête n’est qu’à son commencement…

Tous les jours, nous essayons de mettre les points sur les « i », nous reconstituons les puzzles à partir des pièces que nous fournit l’actualité. Nous déjouons les enfumages médiatiques.

En particulier, je voudrais vous donner l’opportunité de recevoir également Le Delamarche, journal  mensuel impertinent, politiquement incorrect et économiquement juste.

Ce journal est rédigé par Olivier Delamarche qui lui a donné son nom en caution.

C’est une lecture pour ceux qui veulent plus que l’information en disque rayée des chaînes de TV.

C’est une lecture pour ceux qui veulent comprendre par eux-mêmes plutôt que de répéter les messages de communicants manipulateurs. 

C’est une lecture rafraîchissante qui ne s’encombre pas de politiquement correct mais qui vous fera découvrir mois après mois :

  • Comment décrypter les déclarations et les chiffres des politiques, banquiers et instituts de statistique (savez-vous comment on bidonne un chiffre d’inflation ? Par exemple en France l’INSEE considère que le coût de votre logement, charges comprises, représente à peine 10% de vos dépenses) ;
  • Comment éviter les fausses bonnes idées en matière d’investissement ;
  • Comment ne pas se faire enfumer par les médias comme lors de l’élection de Trump aux États-Unis ou sur le Brexit (par exemple les banques centrales dans le monde font plus confiance à la Banque d’Angleterre qu’à la BCE).

Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. Et d’ailleurs voici ce que les lecteurs en disent eux-même :

Pascal P. a écrit récemment : « J’ai lu (devore) vos dossiers avec le plus grand interet« 

René  D. m’a envoyé ce commentaire après s’être abonné : C’est tout simplement une grande bouffée d’air frais.

Ladislas L a écrit : Olivier, votre dossier est exceptionnel, comme une grande claque. Je suis très très impressionné par ce premier numéro.

Fred T. : Vous faites un super boulot, très sérieux et rationnel… et toujours une pique d’humour au bon moment.

Et  Véronique S. : J’ai l’impression que ce journal c’est un premier pas dans la bonne direction…

Ce que vous trouvez dans le journal de Delamarche n’existe nulle part ailleurs. Depuis 10 ans qu’Olivier Delamarche intervient sur BFM, c’est la première fois qu’il a décidé de partager ses connaissances aussi ouvertement et intimement.

Mais ATTENTION, ce service n’est pas pour tout le monde. Il n’est disponible que pour ceux que cela intéresse sérieusement.

Je n’ai déjà pas tellement envie d’envoyer 5 dossiers exceptionnels, Le Delamarche du mois de juillet sur les banques, Les dossiers pratiques sur l’investissement participatif, l’or et celui sur les devises ainsi que l’objectif 324  à n’importe qui.

Mais je n’ai pas non plus de place pour tout le monde. Car l’abonnement au Delamarche ne vient pas seulement avec ses dossiers cadeaux, il vous donne également accès à une série de web-conférence exclusives que nous animons Olivier Delamarche et moi-même.

Posez vos questions en direct à Olivier Delamarche

Tous les 2 mois, les abonnés au Delamarche sont invités à participer à une conférence ligne d’une heure 30 avec Olivier Delamarche.

Ils peuvent poser leur question en direct, revenir sur les dossiers, approfondir…

Mais les places à ces conférences sont limitées.

Aussi n’attendez pas pour vous inscrire.

Je vous invite à rejoindre aujourd’hui les lecteurs du Delamarche vous recevrez immédiatement sur votre boite email :

En vous abonnant aujourd’hui, vous recevrez immédiatement sur votre boîte de messagerie vos 4 dossiers de bienvenue :

  • Dossier n°1 — Investissement participatif : investissez en dehors de la bulle et des banques
  • Dossier n°2 — Devises : votre assurance contre la crise de l’Euro » et
  • Dossier n°3 — L’Or, la monnaie millénaire »
  • Dossier n°4 — Objectif 324 : Les règles essentielles pour protéger et faire fructifier votre patrimoine retraite.

Vous recevrez également d’ici quelques jours la nouvelle édition du Delamarche : Banques la grande arnaque.

Séparément, les dossiers et conférences seraient vendus entre 250€ et 500€. Facilement.

L’accès complet pour 12 mois au journal de Delamarche et tous les avantages ci-dessus coûte 99€.

Néanmoins pour vous remercier de m’avoir lu jusqu’ici et de votre intérêt dans notre démarche, je souhaite vous offrir une réduction importante et vous faire bénéficier d’un tarif spécial de 59€.

Vous ne prenez aucun risque : je vous fais aussi bénéficier de ma garantie de satisfaction pendant 3 mois. Si quelque chose ne va pas, il vous suffit de nous appeler ou de nous envoyer un message et nous vous rembourserons à 100%.

Vous n’avez rien à perdre et beaucoup à gagner.

Cliquez ici ou  sur le bouton ci-dessous pour commencer.

À votre bonne fortune,

Le vaillant petit économiste

 

PS : en cliquant sur le bouton d’abonnement ci-dessus vous serez redirigé vers un formulaire d’abonnement sécurisé (cryptage SSL) qui vous invitera à renseigner vos informations d’abonnement. L’abonnement dure un an, soit 12 numéros. Vous pouvez régler votre souscription  par mandat de paiement SEPA (la solution la plus sûre), par carte ou chèque bancaire.





Les commentaires sont fermés.